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BODDY BAG
4 mai 2010

le monstre

Elle fut la première surprise a ce lever si tôt, peut être un cauchemar ou la lumière des premières lueurs de la journée, car ca faisait très longtemps que son sommeil était régis par calmants et somnifères. Elle se leva s'enveloppa dans son peignoir blanc, si doux sur sa peau, c'était des instants de douceurs pour elle, comme une caresse d'une maitresse dont elle avait perdue le souvenir.

L'eau chaude ruisselaitsur son corps, sa peau, la buée qui doucement envahissait la douche la rramenée des souvenirs érérotiques c'c'étaites seul instants où ces souvenirs revenaient, car les medicamentations qu'elle prprenaitui avait fait perdre toute libido.

Elle aimait son corps, même si elle lus malmené par bons nombres d'excès, mais il était resté sec, musclé, juste assez pour dessiner ce corps androgyne dont elle était fière, car elle savait qu'il plaisait tout simplement !

Elle qui avait pour habitude de « vite filer sous la douche », depuis un temps, la tendance c'était très largement inversé, et elle se foutait bien des ecolos, c'était des plaisirs, ces seuls plaisirs qui comptaient...mais elle avait pris goût a ces instants de douceurs, et pour rien au monde une journée ne pouvait commencer autrement !

Âpres ces longues minutes de douceurs, elle se fit raison de sortir de cette bulle cotonneuse, si agréable, ces cheveux courts mouillés lui faisaient accentuer les trais de son visage carré, mais dont le sourire adoucissait, balayé toute forme de rigueur, c'était un de ses atouts.

Elle tendit le bras machinalement pour reprendre son peignoir, qui était toujours accroché au patère contre la cabine, mais après quelques tâtonnements, elle se résigna a ouvrir en grand la porte de la douche pour s'apercevoir qu'il était a l'autre bout de la salle d'eau : sur le lavabo. Mais qui d'antre avait oser entrer et lui poser ailleurs « sa caresse matinale »? Pas possible que ce soit la gouvernante, elle sait que ce moment ne doit être interrompu ni dérangée par quoique ce soit, donc elle se résigna a pester contre elle même !

Elle avait qu'une solution : traverser de quelques pas cette piece. Son corps se mu au travers de la pièce, le choc fut grand quant un reflet d'un corps se refléta dans la glace « sur pied », elle sursauta, surprise de ne l'avoir jamais remarquer depuis le temps qu'elle est ici , parce que c'était bien un miroir qui lui renvoyé une image d'un corps qui sur le moment elle ne reconnus point. Elle s'approcha doucement, une main en avant de peur que ce soit une hallucination due a sa prise journalière de morphine, lorsqu'elle senti la froideur argenté elle compris :c'était sa propre image qu'elle apercevait.

L'émoi la transperça comme une lame, serrant son cœurll'empêchantpresque de respirer, là ce corps qu'elle ne pouvait pas encore accepter comme le sien, son torse, cette poitrine dont elle aimait les formes, éétaita mmoitiemputé, a la place de ce sein il n'y restait qu'une ballaffre affreuse, le tetétont étati qu'une tache en plus de son asasymétrie.

Non ce n'était pas elle, c'était pas son corps, il était si laid a pressent, elle cru entendre un cri, un cri de bête, elle devina que c'était elle car elle apercue son visage avec sa bouche ouverte, défigure par l'effroi de cette image.

Elle ne put bouger, pétrifiée, c'est Nic qui ayant entendue les cris arriva affolé auprès d'elle, elle qui maintenant était genou, recroquevillé sur elle même pour ne plus voir ce morceau de corps abjecte.. Nic s'approcha d'elle la recouvrant de ce peignoir qui était de venu un linceul.

Ce corps cetait elle : BODDY... just' the Body

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